La femme qui se cognait dans les portes
Roddy Doyle
10/18
273 p.



Voilà un livre poignant et impressionnant ! Roddy Doyle a écrit ce roman à la première personne et se met ainsi dans la peau de Paula Spencer. La mort de son truand de mari est pour elle l’occasion de faire le bilan sur sa triste vie de femme battue et ivrogne, prisonnière de son milieu ! Les seuls points positifs de sa vie sont ses enfants et son amour de la musique ; elle se remémore avec nostalgie des instants fugaces de bonheur, ponctués par les tubes du moments !
Paula a conscience d’être prisonnière de ses sentiments, et d’être incapable de prendre la décision qui s’imposerait.
Un superbe portrait de femme !
Christelle Divry