Chocolat
Joanne Harris
Quai Voltaire, 2001.
333 p.





Cela aurait pu être un bon roman, mais cette histoire est abordée, en maintes endroits, de manière superficielle. J’ai la nette impression que l’auteur, malgré un sujet intéressant, n’a pas su aller à l’essentiel.
L’auteur situe son roman en Dordogne, région française typique. Mais à la lecture, l’histoire pourrait se dérouler dans n’importe quelle petite ville française, anglaise, voire américaine.
Le personnage principal parle de sa mère et des pouvoirs que celle-ci lui aurait transmis. J’aurais aimé en savoir plus sur cette particularité familiale.
Mais la famille n’est pas celle que l’on croit, puisqu’on apprend qu’une jeune enfant a été enlevée et que la narratrice n’est plus la fille de sa prétendue mère, mais cette petite fille enlevée.
L’histoire de la mère, l’enfance de la fille auraient certainement été plus captivantes que ce remake des relations Esméralda-Frollo sur fond olfactif chocolaté !
Christelle Divry