La mort est mon métier
Amélie Nothomb
Albin Michel
139 p.




Voilà le nouveau Nothomb, crû 2001 et dixième roman de l’auteur belge, dans les rayons de votre librairie !
On y reconnaît les ingrédients spécifiquement nothombien : le titre énigmatique, les personnages aux noms tarabiscotés, les répliques courtes et cinglantes des dialogues, la thématique du Bien et du Mal, du Beau et du Laid.
Certains diront qu’il s’agit d’une parution commerciale de plus, voire de trop, d’autres dont je fais partie, qu’il s’agit d’un pas de plus dans la construction d’une œuvre.
Jérôme Angust attend son avion à l’aéroport lorsqu’il est abordé par un inconnu qui lui est aussitôt antipathique. Cet homme lui avoue un viol, un meurtre et s’apprête à en commettre un second qui sera parfait...
Je ne peux vous en dire plus sans révéler la chute qui tombe tel un couperet.
Aux amateurs, bonne lecture ! Aux autres, j’avoue être totalement partiale.
Christelle Divry